Riviera DEV 2016

Je pilote actuellement les activités “Bases de données” au sein des équipes de la Digital Factory d’Orange à Sophia Antipolis.

Dans le cadre de cette activité, j’ai découvert les bases NoSQL au cours de l’année 2010.

A cette époque, les solutions NoSQL n’étaient pas encore complètement matures, mais ayant travaillé pendant de nombreuses années sur des projets mettant en oeuvre des bases de données à forte volumétrie, je trouvais leurs concepts très intéressants, et je pensais que ces technologies deviendraient très utiles lorsqu’elles arriveraient à maturité. J’ai donc entamé une veille technologique sur ces technologies.

En 2011/2012, avec quelques collègues de mon équipe, nous avons réalisé, une étude approfondie sur quelques bases NoSQL (Cassandra, MongoDB, HBase, Hypertable, Riak, …), en nous concentrant principalement sur les critères de performances, de robustesse, de scalabilité et d’exploitabilité.

Cette étude a permis de choisir Cassandra en remplacement de bases relationnelles pour une de nos applications critiques. Ce choix a été très bénéfique car il nous a permis notamment de répondre à une augmentation importante de notre activité tout en améliorant de manière très sensible la qualité de service de notre application.

Actuellement, nous continuons activement à faire évoluer notre application et son architecture générale de manière à bénéficier des évolutions apportées par les dernières versions de Cassandra et de tout l’écosystème qui s’est construit autour, préparant ainsi notre applications aux futurs enjeux qui se présentent actuellement (agilité, ajout de nouvelles fonctionnalités)

• Très haute disponibilité, scalabilité, et performances avec la base NoSQL Cassandra. Cassandra va-t-elle faire la jointure avec l'approche microservices?